Dans une déclaration, mardi, Khatibzadeh a déclaré, en réponse à l'atmosphère médiatique qui s'est installée après la décision de la Cour d'appel de Belgique concernant 3 personnes qui auraient, selon des allégations creuses et sans fondement, qu'elles étaient liées à Assadollah Asadi, le diplomate iranien emprisonné illégalement en Belgique : Malheureusement, aujourd'hui, sous prétexte de la décision de la Cour d'appel concernant les trois individus mentionnés, nous assistons à des mensonges systématiquement fabriqués par les médias occidentaux contre le diplomate iranien, Asadullah Asadi.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a ajouté : Comme nous l'avons mentionné précédemment, toutes les étapes de l'arrestation d'Asadi, du procès et de la délivrance d'une décision judiciaire contre lui se sont déroulées en violation flagrante des dispositions de la Convention de Vienne sur les droits diplomatiques immédiates à ce sujet.
Khatibzadeh a décrit ce scénario comme une procédure pré-arrangée qui a été prise par la représentation d'un groupe terroriste (le groupe terroriste Monafeghin) dans le but d'intimider l'Iran et a ajouté : En conjonction avec les procédures diplomatiques, les suivis juridiques se poursuivent toujours avec diligence, et les parties européennes concernées par l'affaire Asadi ont été sommées d'écouter leurs réponses.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a déclaré qu'en plus d'appeler à sa libération immédiate, nous suivrons la question de l'indemnisation et de la réhabilitation, et l'engagement des parties européennes de ne pas le répéter.
En conclusion, Khatibzadeh a affirmé : Les droits fondamentaux de M. Asadi ont été soumis à de graves et malheureuses violations par les défenseurs des droits de l'homme à toutes les étapes, de l'arrestation aux procédures judiciaires et même après le prononcé de la décision, où les parties concernées doivent être tenues responsables.
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